Un monde sans crise, sans chômage et sans surendettement
La crise économique et financière que traverse le monde depuis 2008 est le résultat d’une crise plus profonde encore, celle de la pensée économique.
Le monde vit sous l’influence de la pensée néoclassique qui dicte les décisions des régulateurs du système, lesquels brûlent leurs dernières cartouches avec les politiques monétaires non conventionnelles.
La pensée keynésienne, à l’origine d’une thèse alternative, laquelle vise à soutenir la demande globale lorsque celle-ci est défaillante, prône le recours aux déficits publics pour la stimuler. Or, cette politique n’est plus guère applicable pour cause de surendettement généralisé.
Il faut donc se résigner ou changer de théorie pour comprendre ce qui nous arrive et explorer, si elles existent, d’autres voies possibles. C’est bien le cas.
Ainsi, c’est à un changement radical de paradigme auquel nous convie l’auteur pour vaincre la crise, le chômage et le surendettement. Il forge ici une théorie nouvelle fondée sur la théorie du circuit établie dès les années 60 par Bernard Schmitt. Déjà exposée dans Produit, monnaie et capital, l’ouvrage de référence de Pierre Gueneau, la théorie est ici simplifiée et améliorée pour la rendre accessible à tous.
Pour ce faire, même si les chapitres s’enchaînent logiquement du plus simple au plus complexe, on pourra, dès le premier chapitre, avoir une idée claire de la thèse soutenue par l’auteur.
Dans ses propositions, essentiellement techniques, l’auteur renoue notamment avec une vieille idée gaullienne, celle de la participation, à laquelle il apporte des éléments nouveaux de nature à bouleverser le financement des retraites et le fonctionnement profond du capitalisme.
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La table des matières de l’ouvrage se trouve en page 133 du livre.
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